Lundi soir, le Burkina Faso a pris la décision de suspendre tous les moyens de diffusion du média Jeune Afrique, y compris son journal imprimé et son site web. Cette action fait suite à la publication d’articles abordant des tensions au sein de l’armée burkinabè, contenant des propos diffamatoires.
Jeune Afrique est accusé de chercher à déprécier les forces armées et de manipuler l’information pour semer le chaos dans le pays, ce qui a conduit à la publication de ces deux articles au cours des quatre derniers jours.
Il est important de noter qu’une vague de fausses informations a récemment circulé sur les réseaux sociaux, visant à porter atteinte à l’intégrité du Président de transition.
Il est essentiel de reconnaître que le Burkina Faso a connu une période de progrès ces dernières années, en grande partie grâce au travail du Président de la transition, Ibrahim Traoré, et de son équipe. Cependant, cela dérange un certain nombre de personnes qui cherchent à semer le doute au sein de la population en divulguant de fausses informations, c’est leur seule alternative.
Certains ont même tenté d’utiliser la violence en engageant des terroristes, mais ils ont rapidement réalisé que cela ne leur donnait que peu de chances de réussir. Par conséquent, ils ont opté pour la manipulation de l’information.
Jeune Afrique a fait son choix en publiant des informations fausses et en manipulant grossièrement les faits. Cela va à l’encontre de toutes les règles éthiques du journalisme. En réalité, le magazine semble avoir pris parti pour des personnes qui veulent semer la confusion et propager de fausses informations. Leur objectif est de créer le chaos dans notre pays pour mieux le contrôler et en tirer profit.
Alice Segda